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Les principes du Knowledge Management Le Knowledge Management fournit un cadre pour intégrer les nouvelles approches stratégiques et managériales apparues depuis une vingtaine d'années (l'approche "capacités, ressources et compétences", les compétences clés de l'entreprise, les compétences individuelles, le re-engineering et l'organisation apprenante). Source Syre DéfinitionLe Knowledge Management peut être défini comme étant l'utilisation systématique et organisée des savoirs contenus dans l'entreprise dans le but de l'aider à atteindre ses objectifs. La gestion des connaissances a donc pour mission d'améliorer la performance de l'entreprise. Source Mayetic La connaissance, actif stratégique Désormais, la première richesse d'une entreprise ou
d'une organisation, c'est la somme des connaissances qu'elle peut réunir et
faire vivre.
Source Knowings La Création des connaissances Le modèle de création des connaissances repose sur la distinction entre savoir tacite et savoir explicite. Le savoir tacite est enraciné dans l'action, dans les routines, dans un contexte spécifique (ce qui peut donner la productivité personnelle au niveau individuel et l'avantage concurrentiel au niveau de l'entreprise). Le savoir explicite est la connaissance codifiée, transmissible en un langage formel et systématique (production de données au niveau individuel, et gestion électronique documentaire au niveau de l'entreprise). Source Syre Du stockage au partage Notre société de l'information impose aux entreprises une révolution stratégique et culturelle : passer d'une culture du pouvoir par la connaissance capitalisée, stockée à une culture du partage de la connaissance. Le pouvoir repose désormais sur la maîtrise des flux de connaissances, c'est-à-dire sur la capacité à acquérir, développer, diffuser et exploiter les connaissances et sur la capacité à fédérer et mobiliser les réseaux de compétences. Source Knowings
Capter, synthétiser et diffuser les bonnes informations pour la bonne personne, sont les trois volets d'un projet de gestion de la connaissance.
Source KM Actu De la messagerie aux espaces de travail collaboratif La messagerie électronique est devenue dans la très grande majorité des entreprises le seul outil de collaboration utilisé par les employés ! Mais la messagerie n'est pas un outil de collaboration, c'est un outil de communication.(...) Mais que se passe-t-il le jour où un nouveau membre du projet arrive et qu'il faut lui communiquer l'ensemble des informations sur le projet ? Que se passe-t-il lorsque l'on recherche la dernière version d'un document, et que l'on en a plusieurs classées dans sa messagerie, sans même être sûr d'être soi-même en possession de la dernière version ?(…) Il se passe tout simplement que la messagerie n'est plus adaptée à l'usage implicite qu'en font les entreprises, ce qui explique le degré de saturation extrême auquel sont arrivées la plupart des boîtes aux lettres. (…) Or, autant les logiciels classiques de groupware ont eu du mal à venir résoudre ces problèmes, bien qu'ils soient à l'origine taillés pour cela, autant les nouveaux outils de gestion d'espaces de travail collaboratif sont parfaitement adaptés, à tel point qu'il deviennent la troisième couche générique du système d'information, celle qui va permettre de réellement collaborer et désengorger la messagerie.
De la collaboration à la publication dynamique Comme le montre le schéma précédent, l'outil de collaboration est en interaction avec aussi bien la messagerie que la bureautique. La couche bureautique sert à produire l'information, sur laquelle il va falloir collaborer pour la mettre en forme ou la valider, et qui va ensuite être notifiée via la messagerie. Ces fonctions de publications sont de deux natures :
Source Mayetic |