Voici réunis ici des extraits de textes traitant du concept de Knowledge Management, très employé, peu explicité. :

1.    Définition du KM

2.    La notion de connaissances

3.    Les systèmes collaboratifs

Le KM

Le concept de Knowledge Management n'a pas encore de définition stable qui fait l'unanimité parmi les experts du domaine. C'est le syndrome typique des concepts émergents. Cependant, cette discipline est devenue stratégique et indissociable d'un objectif de croissance rentable pour les entreprises.

Source KM Center

Qu'est-ce que le Knowledge Management ?

Cette dicipline nouvelle enseigne comment capitaliser toutes les connaissances de l'entreprise, pour en tirer un véritable avantage concurrentiel et stimuler l'innovation.

Source KM Actu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Les principes du Knowledge Management

Le Knowledge Management fournit un cadre pour intégrer les nouvelles approches stratégiques et managériales apparues depuis une vingtaine d'années (l'approche "capacités, ressources et compétences", les compétences clés de l'entreprise, les compétences individuelles, le re-engineering et l'organisation apprenante). 

Source Syre

Définition

Le Knowledge Management peut être défini comme étant l'utilisation systématique et organisée des savoirs contenus dans l'entreprise dans le but de l'aider à atteindre ses objectifs. La gestion des connaissances a donc pour mission d'améliorer la performance de l'entreprise.

Source Mayetic

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Les connaissances :

La connaissance, actif stratégique

Désormais, la première richesse d'une entreprise ou d'une organisation, c'est la somme des connaissances qu'elle peut réunir et faire vivre.
En effet, la performance d'une entreprise repose de plus en plus sur la capacité à :

    • Assurer une veille sur ses marchés et anticiper
    • Innover dans ses produits, ses méthodes ou son organisation
    • Détecter, capitaliser et déployer rapidement les meilleures pratiques à l'échelle de l'entreprise
    • Mobiliser les réseaux de compétences de l'entreprise (collaborateurs, communautés métier, réseaux d'experts, groupements professionnels, partenaires…)

Source Knowings

La Création des connaissances

Le modèle de création des connaissances repose sur la distinction entre savoir tacite et savoir explicite. Le savoir tacite est enraciné dans l'action, dans les routines, dans un contexte spécifique (ce qui peut donner la productivité personnelle au niveau individuel et l'avantage concurrentiel au niveau de l'entreprise). Le savoir explicite est la connaissance codifiée, transmissible en un langage formel et systématique (production de données au niveau individuel, et gestion électronique documentaire au niveau de l'entreprise).

Source Syre

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Les systèmes collaboratifs :

Du stockage au partage

Notre société de l'information impose aux entreprises une révolution stratégique et culturelle : passer d'une culture du pouvoir par la connaissance capitalisée, stockée à une culture du partage de la connaissance. Le pouvoir repose désormais sur la maîtrise des flux de connaissances, c'est-à-dire sur la capacité à acquérir, développer, diffuser et exploiter les connaissances et sur la capacité à fédérer et mobiliser les réseaux de compétences.

Source Knowings

 

Capter, synthétiser et diffuser les bonnes informations pour la bonne personne, sont les trois volets d'un projet de gestion de la connaissance.

 

Source KM Actu

De la messagerie aux espaces de travail collaboratif

La messagerie électronique est devenue dans la très grande majorité des entreprises le seul outil de collaboration utilisé par les employés !

Mais la messagerie n'est pas un outil de collaboration, c'est un outil de communication.(...)

Mais que se passe-t-il le jour où un nouveau membre du projet arrive et qu'il faut lui communiquer l'ensemble des informations sur le projet ? Que se passe-t-il lorsque l'on recherche la dernière version d'un document, et que l'on en a plusieurs classées dans sa messagerie, sans même être sûr d'être soi-même en possession de la dernière version ?(…)

Il se passe tout simplement que la messagerie n'est plus adaptée à l'usage implicite qu'en font les entreprises, ce qui explique le degré de saturation extrême auquel sont arrivées la plupart des boîtes aux lettres. (…)

Or, autant les logiciels classiques de groupware ont eu du mal à venir résoudre ces problèmes, bien qu'ils soient à l'origine taillés pour cela, autant les nouveaux outils de gestion d'espaces de travail collaboratif sont parfaitement adaptés, à tel point qu'il deviennent la troisième couche générique du système d'information, celle qui va permettre de réellement collaborer et désengorger la messagerie.

 

De la collaboration à la publication dynamique

Comme le montre le schéma précédent, l'outil de collaboration est en interaction avec aussi bien la messagerie que la bureautique. La couche bureautique sert à produire l'information, sur laquelle il va falloir collaborer pour la mettre en forme ou la valider, et qui va ensuite être notifiée via la messagerie.

Ces fonctions de publications sont de deux natures :

  • publication dynamique d'information : l'information qu'un auteur veut publier auprès de "ses lecteurs" doit pouvoir être publiée de manière dynamique dans le même environnement de travail que celui dans lequel il a produit l'information, de manière collaborative ou non. (…)
  • consultation générique d'information : de même que l'auteur doit être en mesure de publier son information de manière totalement dynamique, les lecteurs destinataires de cette information doivent pouvoir consulter cette information de manière générique.

Source Mayetic

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